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Noir ou Blanc (1)
- Et une de moins, à la suivante !
Une fois de plus, Piper leva les mains mais avant que quelque chose ne puisse se passer Cole se jeta sur elle et pris l’explosion à sa place. Indestructible, sa plaie disparu en un tour de magie. Prêt à repartir à la charge, Phoebe protégea son visage mais pris la parole avant que sa sœur n’eu le temps de se servir de ses pouvoirs.
- Attend, c’est stupide se battre au manoir. Ici tout est trop petit, pour ne bataille d’une tel importance mieux vaux être dans un endroit plus large.
- Tu as raison, ici tout est trop petit, rien que ma chambre est plus grand tout cet étage.
Pars ma simple volonté,
Que toutes ces personnes et moi soyons éclipsés,
Dans les rues de cette ville,
Pour poursuivre ce combat inachevé.
Quand Phoebe ouvra les yeux, elle était à terre. Paige l’étais aussi, quelques mètres à sa gauche. Phoebe regarda autour d’elle, le ciel qui était claire il y a quelques heures étaient devenu gris et sombre, la plupart du aux explosions incessante qu’il y avait à San Francisco. Rien que d’imaginer que dans toutes les villes et villages de la Terre, ressemblent à celle-ci lui donna la chaire de poule. Phoebe pu apercevoir au loin une fille se faire tué par une bannie, on pouvait entendre au loin les cries que cette fée démoniaque poussé ; mais pourtant Phoebe avait un plus gros pincement au cœur quand elle remarqua que la jeune fille était Mily, l’ex sirène. Les larmes aux yeux, une goutte tomba au sol et Phoebe remarqua enfin que quelqu’un avait essayer de la faire exploser, les dégâts étaient pareils que celui des pouvoirs de Piper. Sûrement elle d’ailleurs ! Sa jambe saigné de toute ampleur « Il ne manquait plus que je fasse une hémorragie ».
- Qu’est ce que c’était déjà ?
Pour que je puisse continué
Ce combat sans pitié,
Pour que le bien triomphe,
Je veux que ma blessure soit soignée.
Quelques étincelles apparurent un peu partout sur elle, particulièrement sur sa jambe. Phoebe poussa un petit de victoire, contente d’elle et se releva.
- C’était pas exactement ça mais cela à marché quand même, c’est le principal ! Ce n’est pas possible que l’on soit à San Francisco, tout a tellement changé.
- Si, vous êtes bien là où vous pensez être.
- Pardon ? Vous, vous êtes Shamus ? Mais tu avais été tué par... peu importe. Ca va ?
- J’ai l’aire d’aller bien ?
- Désolé, montre moi ta tête. Quelques égratignures, rien de bien méchant. Qui est ce qui t’as fait ça ?
- Une petit monstre. Une bête à quatre pattes, à peine dix centimètre de hauteur, avec une queue et des petites moustaches. Cette saleté de bestiole ne perd rien pour attendre.
- C’est un rat démon.
- Oui, un truc dans ce genre.
- On a déjà eu des problèmes avec ce gore de démon il y a à peu près six ans. Je te déconseille de les poursuivre car ils sont rempli de pouvoirs.
- Mouais. Je rêve ou tu as eu beaucoup de chance !
- Je te demande pardon ?
- Une Halliwell sans égratignure, cela n’existe pas !
- Non, je n’ai pas vraiment eu de chance aujourd’hui. C’était prévu pour le 22 et voilà qu’ils font exprès d’attaquer en avance pour être sûr qu’on ne sera pas totalement préparer.
- Tu ne savais pas que cette sale race n’est pas digne de confiance ? Je devrais donner un coup de main à mes frères, je te conseille d’aller t’occuper de ta sœur. Elle n’a l’aire pas très bien en point.
- Ne t’en fais pas, allez ! Dépêche-toi et bonne chance !
- Ne dis pas ça cela porte malheur !
- Il faut que j’y aille.
- Je t’interdis d’y aller.
- Je t’en pris, des millions d’être vivants sont entrain de mourir. Bénéfique, maléfique et mortel, il faut que j’aille faire ce que Paige m’a demandé de faire.
- Attend avant de partir.
- Qu’il y a-t-il ?
- Ded, écoutes loi bien.
Ded fait un oui de la tête et s’assoie sur l’une des merveilleuses pierres qu’il y avait tout autour d’elle. Des centaines d’oiseux gazouillaient, les arbres étaient en fleur et même quelques serpents, sangliers et autre vivaient en harmonie total.
- Cette endroit est magnifique, on se croirait dans le Jardin d’Eden.
- Tu vises juste. Maintenant écoute-moi, ma chérie tu sais qu’il y a quelques années, quatre ans précisément, quelque chose d’horrible s’est produit. A voir cela, on ne dirait pas que cela n’est pas aussi horrible que ça mais pourtant on ne pouvait pas vivre comme ça.
- Avec tout le respect que je te dois, sans vouloir vexer qui que ce soit, je ne vois pas de quoi tu veux me parler.
- Et bien l’ordre cosmique des choses était totalement bouleversé. Vois-tu je règne sur deux mondes très différents ou tout ce qui est bon dans un monde est mauvais dans l’autre. Aujourd’hui tu passes plus sur le bien qu’autre chose, dans l’autre monde tu es plus avec les démons.
- J’ai compris.
- Bien, alors maintenant prête moi toute ton attention. On ne peut pas vivre sans bien, on ne peut pas vivre sans mal ; même si tout le monde fait son choix en prenant l’avantage d’être démoniaque ou bénéfique, ou as tous un côté sombre ou joyeux, on ne peut pas être ‘Noir ou Blanc’.
- J’ai enfin compris ce que vous voulez dire, merci.
- Ded.
- Oui ?
- Quoi qu’il va se passer dans le futur, je te souhaite bonne chance.
- Espèce de salaud, va te faire voir ! Boule de feu va vers lui.
AHH….
- Et un de moins !
- Paige !
- Quoi, qu’est ce que j’ai fait encore ?
- Surveille ton vocabulaire.
- C’est pas le moment de rire, des Pustules !
- Qu’est ce que tu dis, j’ai pas de ces trucs sur le visage !
- Je sais maintenant, de qui Chris a héritait.
- Quoi ? Mais quoi tu parles, j’ai loupé un chapitre là.
- Des démons pustules, derrière toi !
- Il fallait le dire, qu’est ce que j’en savais ?
- Baisse-toi.
AHH…
- Que s’est il passé ? Ded ? Qu’est ce que tu fais ici, tu m’as enfin écouté quand je t’ai demandé de l’aide ?!
- Quand est ce que tu lui as demandé de l’aide ?
- Laisse tomber.
- Ces démons sont assez facile mais le temps presse.
- Oui je sais, il faut venir à bout de la Source du mal et on a eu le temps de réfléchir. Si on parvient a crée une formule pour faire en sorte que l’effet soit le même que la Reine des vampires…
- …C'est-à-dire que l’on tu la Source, dans notre cas « Les Sources », et comme ça tous les petits démons seront tués accompagné des monstres et autres créatures et ainsi…
- …Le bien sera total et on vivra heureuse jusqu’à la fin des temps. Alors qu’est ce que tu en penses Ded ?
- Premièrement l’appel ne serait pas assez fort, il faudrait un Pouvoir des Trois ; et deuxièmement je vous l’interdis.
- Quoi ? Comment ça, attend je ne suis pas ton raisonnement. Cela serait l’opportunité rêvée pour que tu deviennes mortel !
- Je le sais mais c’est plus compliqué que ça. Vous vous souvenez le jour de la naissance de Chris ?
- Bien sûr mais je ne pas le…
- Laisse-moi finir, tu veux. Comment l’expliquer ? Mm… les filles, on ne peut pas vivre seulement dans un camp. Il y a toujours une part de nous où il y a des tentations d’utiliser vos pouvoirs pour votre propre intérêt, c’est un acte égoïste donc mauvais. Souvenez-vous de toutes ces fois où vous vous êtes transformé en démon. Il y a toujours un côté maléfique et bénéfique en nous. On ne peut pas être totalement Noir ou Blanc.
- Je comprends mais à vrai dire je ne vois pas le rapport. On le sait déjà tout ça !
- Quand l’ordre cosmique des choses a été bouleversé, dans ce monde tout le monde était joyeux.
- Oh oui c’était horrible. Même trop joyeux à mon goût, les gens étaient complètement hystérique, qu’ils faisaient peur à voir. Paige et moi on a bien fait l’expérience.
- J’ai compris.
- Attention !
Ded se jeta sur les deux sœurs puis elle s’éclipsèrent presque un kilomètre plus loin. L’explosion était tellement forte que le sol tremblait de toute part. Obligés de se couvrir les yeux et s’allongé à terre, Phoebe et Paige ne mirent pas longtemps à comprendre que le pont du Golden Gate où elles étaient à peine quelques secondes avant avait été détruit. Le bruit était tellement puissant que les vitres non loin des filles explosaient, certains bâtiments à côté du pont étaient emporté par le souffle tellement puissant qui les emportait dans la mer. Des cris de toute part pouvaient s’entendre, des centaines de personnes, là plupart mortel hurlaient de douleur ou de peur. Il aura bien fallu quatre minute avant que les filles ne puissent totalement ouvrir les yeux puis se relevé.
- Mon Dieu, quel désastre. Le pont à céder !
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